L’IA au travail en 2025 : une dynamique se met en place, mais des lacunes subsistent (contenu en anglais)
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L’IA fait désormais partie de notre quotidien professionnel, mais les employés de première ligne ont atteint un plafond d’adoption.
Intérêt de la source
Belle enquête du Boston Consulting Group, qui révèle que les dirigeants et les managers utilisent l’IA générative plusieurs fois par semaine, mais que son adoption par les employés de première ligne stagne à environ 51 %. On y apprend aussi que les organisations qui vont au-delà du simple déploiement d’outils pour repenser leurs flux de travail (reshape) réalisent des gains de temps plus importants et prennent des décisions plus pertinentes, même si ces changements accentuent les inquiétudes liées à la sécurité de l’emploi (46 % contre 34 % dans les entreprises moins avancées). Une adoption plus large par les employés de première ligne dépend d’un soutien fort de la direction, d’outils adaptés et d’une formation adéquate.
Dans une autre étude mentionnée récemment concernant le très faible taux de succès des projets IA, la conclusion semblait porter vers un meilleur ciblage technologique et un meilleur maillage avec les processus internes. Ici les auteurs ciblent plutôt des aspects de type «ressources humaines ». Dans les deux cas, on semble ignorer l’autre aspect. La meilleure approche se situe probablement dans le bon mélange des deux; un meilleur accompagnement et support des employé.e.s et un meilleur maillage technologique. Ceci dit, l’aspect RH peut se travailler dès maintenant, alors que l’aspect technologique, bien qu’il puisse commencer maintenant, est aussi voué à encore évoluer très rapidement.
Interestingly, when workers are well-informed and familiar with AI agents, apprehension turns into enthusiasm. Employees begin viewing AI agents less as threats and more as collaborative partners that enhance their work.